Ce que les dernières découvertes scientifiques révèlent
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[traduction libre] Une étude longitudinale menée en France a révélé que les personnes qui utilisaient régulièrement la cigarette électronique avait plus de 67 % de chances de cesser l’usage du tabac que ceux qui n’utilisaient pas de produits de vapotage.
[traduction libre] Une vaste étude de prévalence menée au R.-U. a démontré que l’utilisation de la cigarette électronique menait davantage à la cessation que les thérapies de remplacement de la nicotine (TRN) ou l’absence d’aide. Il a été observé que les constatations sur la cessation « contredisent les allégations selon lesquelles les cigarettes électroniques, telles qu’elles sont utilisées par les fumeurs dans la population, nuisent à la cessation du tabagisme », et vont dans le sens des analyses des séries chronologiques menées en Angleterre et aux É.-U.
Une étude approfondie portant sur 18 929 adultes et menée au R.-U. a démontré que la consommation des produits de vapotage était aussi efficace dans le monde réel que l’utilisation de la varénicline médicale et trois fois plus efficace que les thérapies de remplacement de la nicotine (TRN) prescrites sur ordonnance pour aider les fumeurs à cesser de fumer. [traduction libre]
En 2017, un groupe d’étude de l’OMS a conclu une méta-analyse de quelques essais cliniques effectués à l’époque, qui a montré que l’utilisation des dispositifs électroniques assurant un apport de nicotine multipliait par deux la probabilité de cessation du tabagisme comparativement au placebo. [traduction libre]
[traduction libre] La revue systémique de la bibliothèque Cochrane de la littérature publiée sur l’utilisation des produits de vapotage pour cesser de fumer démontrait, en fournissant des preuves de certitude modérée, que les cigarettes électroniques contenant de la nicotine augmentaient les taux de cessation comparativement aux cigarettes électroniques sans nicotine et aux thérapies de remplacement de la nicotine (TRN).
Un essai prospectif contrôlé randomisé a démontré une amélioration significative de la santé vasculaire des fumeurs de cigarettes combustibles dans le mois qui suivait l’abandon des cigarettes combustibles au profit des cigarettes électroniques. [traduction libre]
Une étude de Stephens (2018) a montré que les émissions des cigarettes électroniques avaient un potentiel carcinogène bien inférieur (˂ 1 %) à celui de la fumée des produits du tabac. [traduction libre]
Au Canada, un récent essai clinique randomisé portant sur des adultes qui souhaitaient cesser de fumer a démontré que les cigarettes électroniques contenant de la nicotine, couplées à une consultation psychologique, augmentait considérablement la prévalence de l’abstinence à un moment donné à 12 semaines. [traduction libre]
Les niveaux de certains composés toxiques contenus dans la vapeur d’une cigarette électronique étaient de 9 à 450 fois plus faibles que la fumée du tabac. [traduction libre]
Les personnes qui avaient abandonné les cigarettes traditionnelles au profit des produits de vapotage ou des thérapies de remplacement de la nicotine pendant au moins six mois avaient dans leur corps de bien plus faibles niveaux de substances toxiques et causant le cancer que les personnes qui continuaient à utiliser des cigarettes traditionnelles. [traduction libre]
Les preuves de la réduction des méfaits suggèrent que parmi toute une série d’études et de résultats, les cigarettes électroniques présentent moins de risque pour une personne que les cigarettes combustibles. [traduction libre]
L’approche de la FDA pour contrôler l’usage de certains dispositifs et saveurs de cigarettes électroniques n’a pas réussi à empêcher les adolescents et les jeunes adultes de vapoter, d’après une étude de Stanford Medicine. Les jeunes gens adoptent plutôt des produits de vapotage aromatisés largement disponibles, y compris les nouveaux produits qui contournent les politiques de la FDA. [traduction libre]
« Nos conclusions suggèrent que l’interdiction de certains produits de vapotage aromatisés pourrait dissuader certains fumeurs adultes de vapoter, et peut-être les inciter à se remettre à fumer des cigarettes combustibles qui sont nettement plus dangereuses que les produits de vapotage, alors que nous savons qu’au moins 50 % des fumeurs réguliers meurent d’une maladie liée au tabagisme », explique la professeure adjointe du projet ITC, Shannon Gravely, auteure principale de l’étude. [traduction libre]
Une étude récente publiée dans Nicotine and Tobacco Research suggère que même si les « études prospectives ont régulièrement constaté un lien incontestable entre l’utilisation des cigarettes électroniques et la consommation par la suite de cigarettes combustibles… nombreuses sont celles qui n’ont pas tenu compte des facteurs de risque importants ». [traduction libre]
Comment les autres pays ont adopté une approche progressive concernant le vapotage
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